Fractionner oui, mais en groupe.

Aujourd’hui direction le stade ce midi.
J’avais RDV avec l’amiricore (alias Michael) pour la remise de mon sac Colombia.
Il me fait voir ça cheville…Un beau bleu sur l’extérieur du pied droit…Courage Mic!

Je démarre la séance avec « Nino » que je laisse au bout de 20′ pour rejoindre 2 collègues qui sont deja sur piste.
Je prends donc le train en route…Progamme : des 300m (3 séries de 6).
Ils viennent d’en finir une.
Je commence avec eux pour ma première série. Je reste un peu en retrait. Je suis en dessous d’eux en 1’13/ 1’14. Je me recale à chaque 300m grâce à la récup; de 50″ sur 100m.
Il y du vent (sud) et nous l’avons de face au départ, puis dans le dos sur la ligne droite, ça aide bien.
A la fin de la première série, nous récupérons 3′, et pour moi, je ne suis pas trop chaud pour faire une deuxième série.
Arnaud et Mathieu, mes deux collègues me disent que pour faire un travail efficace, je doit encore au moins faire 2 x 300m.
C’est parti pour la deuxième série, je reste toujours en retrait par rapport a eux, et j’enchaine 1’13/1’14/…et je me sens bien et continu sans problème .. 1’14/1’13/1’13… Je demande à Arnaud: Il en reste encore deux? Non un ! me répond il. Je n’ai rien vu passer, je finis le dernier en 1’13 toujours régulier, enfin régulier… surtout incapable de faire plus!!!
Merci à eux qui m’ont booster pour cette séance..tout seul j’aurais craquer à la fin de la première série.
Retour au calme sur un petit tour de 10′, avec la satisfaction d’avoir bien travailler et de bonnes sensations a ce rythme.
Demain sortie endurance, enfin on va tout faire pour, car jeudi n’est pas férié pour tout le monde, si vous voyez ce que je veux dire….. 🙁

4 réflexions au sujet de « Fractionner oui, mais en groupe. »

  1. C’est également pour cette raison que je me suis inscrite au VRC92: en club, en groupe, j’arrive à me motiver pour le fractionné. Seule, jamais !
    Le souci est que je suis vraiment en dessous du niveau des autres, et que je dois aussi faire gaffe à ne pas me blesser. Je suis donc à la traine, mais je m’accroche !

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